A la Saint-Valen­tin, les por­te­feuilles volent et les res­tau­rants grouillent ; on s’arrache les bou­quets de fleurs et on se rue sur les tables les plus chics. Les oiseaux chantent au réveil de ces valen­tins et valen­tines qui se mettent sur leur trente et un. Edith Piaf chante La Vie en Rose de tout cœur, et comme par le plus grand des hasards, la météo est des plus plai­santes, un ciel bleu et une tem­pé­ra­ture qui s’adoucit pour l’occasion en ce mois de février.

Paris, ville idéale pour la Saint-Valentin

De plus, s’ajoute ce cli­ché de fêter l’amour dans la Ville de l’amour. C’est pour­quoi les plans les plus roman­tiques, et sou­vent les plus chers, abondent. Le prix des menus double voire triple pour des les couples se voyant pro­po­ser en plus une bou­gie, un bou­quet de fleurs et un repas un peu plus éla­bo­ré. Les dîners à bord d’une péniche avec balade sur la Seine connaissent un grand suc­cès et tant pis s’ils sont inabordables.

Les sites dres­sant une liste des meilleures idées pour pas­ser la soi­rée saturent le net. Les jour­naux. Si un jour redonne espoir à l’économie fran­çaise, il s’agirait bien de la Saint-Valen­tin. L’inflation sera-t-elle tou­te­fois l’en­ne­mi de l’amour ?